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A l'étale de basse mer ...
20 octobre 2010

le latin qui someille en moi

La nuit dernière j'ai pris un grand ascenseur qui m'a emmené dans les profondeurs de la terre. La descente donnait l'impression d'être longue et j'avais du mettre des chaussures spéciales comme si je devais ensuite marcher dans une mine.
Quand je suis sorti de l'ascenseur je me suis retrouvé dans une ville souterraine où il y avait même des animaux, notamment des oiseaux. Je n'avais plus de chaussures et j'avançais pieds nus dans la rue. C'était un endroit serein. Je suis entré dans un magasin et là j'ai croisé des gens avec des pancartes qui scandaient "zéro impôts ! Plus d'impôts !" J'ai voulu leur dire mon désaccord et l'utilité des impôts pour l'éducation mais ma gorge s'est bloqué ... je me suis réveillé.
J'ai lu (ou entendu) quelque part que quand on marchait pieds nus dans un rêve cela signifiait que l'on était mort et il est vrai que le séjour souterrain où je me trouvais évoquait les enfers de Pluton, apparemment coté champs Élysée.
Je trouve d'ailleurs étonnant que ce rêve avec cette référence mythologique caché survienne juste deux ou trois jours après un autre où Phébus Apollon tenait une grande place.
Dans celui-là un jeune homme était allongé nu sur le ventre dans l'herbe et se laissait caresser avec grand plaisir par les rayons puissant du dieu solaire puis il se retournait et se trouvait effrayé d'avoir Apollon, très beau et très blond au dessus de lui s'apprêtant à lui faire l'amour. Le jeune homme semblait vouloir se refuser au dieu quand à quelques pas de là une clameur populaire de désapprobation a retenti. Je ne sais pas si le jeune homme s'est retrouvé puni par Apollon courroucés ou si une foule  mécontente qu'on puisse faire un tel affront à un dieu aussi important a fondu sur lui car mon rêve s'est arrêté  avant.
En tout cas ces rêves me donnent à penser que au fond de moi je suis enclin à avoir une visions du monde similaire à celle des anciens romains.

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Commentaires
I
Un cœur qui bat dans l'ombre ... Palpitations qui rythment le silence.<br /> La vie, toujours, qui pousse en avant ...
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A l'étale de basse mer ...
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